▪ Date de naissance : 22/03/1993▪ Âge : 31▪ Messages : 187▪ Date d'inscription : 17/08/2010▪ Emploi/Occupation : Elève - Première année.▪ Filière : Arts.▪ Humeur : Smile...
Sujet: Nigeru Nobilis [Première année - Arts] Dim 22 Aoû - 1:20
Description Physique
D’une silhouette très élancée, Nigeru est un jeune homme chétif même si plus endurant et résistant qu’il n’en a l’air. Le moindre de ses gestes n’est que le reflet d’une tendresse spontanée, c’est la finesse de ses doigts qui sous-entend ce profond maniérisme. Ils paraissent extrêmement effilés, s’accordant avec la finesse de ses lèvres fraiches et tendres. Sa peau est d’un teint pêche délicieux et délavé, irrésistiblement douce et délectable au toucher. Pour parler un peu de son visage, ce dernier est chatouillé par des mèches gris anthracite qui varient de volume autant que le vent change de sens. Parfois recouvert de sa chevelure, ses yeux vairons, (noirs et mauves) ont souvent attiré la curiosité et l’attention des gens. Engendrant même une certaine peur face à cette couleur violette très peu répandue. Il a de très longs cils couleur jais qui animent une légère mélancolie dans ses expressions. Aimant s’exprimer et parler, ses lèvres gardent souvent une expression neutre qui se rapproche d’un léger sourire. En clair, il a une frimousse perdue dans des expressions ravies, même si son cœur venait à exprimer le contraire.
Caractère
Aucune difficulté dans l’étude, il a la chance d’avoir une mémoire photographique qui lui offre de grandes facilités. C’est quelqu’un de très décontracté, et même s’il paraît timide, il est bien loin de l’être. Il recherche le contact avec les gens, il n’en a aucun mal, il est d’une nature très ouverte et ne se fige jamais d’a priori. Nigeru aspire au calme, il aime la musique et considère les notes comme son seul et unique oxygène. Jamais il n’a froid aux yeux, ce que les gens n’imaginent point vu son apparence sans défense. Par contre, sa tendance à trop oser le met souvent dans des situations dont il n’a pas facile de se sortir. Toujours très calme, même mystérieux et difficile à cerner, on ne le met que rarement en colère. Dans toutes les circonstances, il affiche toujours un sourire empli de charme, mais il reste quelqu’un d’extrêmement sensible qui comprend les gens très facilement. Pour terminer, c’est un jeune homme très joueur et taquin, dans tout et n’importe quoi.
Il aime ficeler des mélodies pour les autres personnes, mais il déteste que l’on croie qu’il n’est doué que dans le classique. Oui, Nigeru joue autant du synthé que du piano à queue, il peut s’adapter et composer dans des genres aussi différents que variés. Il aime absolument tout, ne disant jamais non à un bon concert de rock autant qu’à un opéra Italien. Il apprécie qu’on s’occupe de lui, qu’on le regarde, même s’il reste sur une légère défensive due à son incertitude. Etrangement, le sucre n’est pas sa grande passion, il n'aime que les sucettes comme confiserie. Il se vexe facilement si l’on critique ses yeux et essaie désespérément d’arrêter de rouler ses « r ».
Histoire
Fils d’un grand compositeur russe et d’une mère japonaise informaticienne, il vécut en Russie la plus grande partie de sa vie. Pendant toute sa jeunesse, son père ne cessera de l’obliger à exploiter ses facultés musicales, lui enseignant des semaines durant, les infimes détails de la musique et de ses instruments. En outre, s’il n’était pas conditionné en notes et mélodies, sa mère reprenait le relais en lui expliquant à quel point l’informatique était important à cette époque de notre ère. Bien qu’il apprît, il n’en était nullement intéressé, s’adonnant plus aux partitions qu’aux créations de programmes.
C’est donc de cette façon qu’il respira sa tendre enfance, sans préoccupation aucune, créant même un petit groupe et éparpillant leurs représentations.
C’est vers l’âge de 15 ans, que tout finit par basculer dans un brusque carnage. Son père mourut, tué par une femme au combien inconnue, alors qu’il observa douloureusement la scène de l’agonie se dérouler devant ses yeux.
Refroidi dans son élan après cette scène incompréhensible, sa mère lui proposa de partir vivre au Japon, s’écartant le plus loin possible de la Russie.
Quelques années après, une lettre du Pensionnat "Metropolis" arriva jusqu'à lui. Un peu étonné d'une telle proposition alors qu'il n'avait pour ainsi dire, rien demandé, c'est un peu obligé qu'il mit fin à ses activités pour s'y rendre.