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 Alys Hemelighet [Élève - Deuxième année] ~ La Mort

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Messiah

Messiah


▪ Date de naissance : 01/01/1912
▪ Âge : 112
▪ Messages : 38
▪ Date d'inscription : 14/02/2011

Alys Hemelighet [Élève - Deuxième année] ~ La Mort _
MessageSujet: Alys Hemelighet [Élève - Deuxième année] ~ La Mort   Alys Hemelighet [Élève - Deuxième année] ~ La Mort I_icon_minitimeVen 18 Fév - 10:46

Alys Hemelighet [Élève - Deuxième année] ~ La Mort Electrocard13




Alys Hemelighet

Nom : Hemelighet [se prononce "Héméliguète"].
Prénom : Alys.
Surnom :
Âge :
Sexe : Féminin.
Orientation Sexuelle :
Race : Phaser.
Clan : Pacifistes.
Emploi/Occupation : Élève - Deuxième année.
Filière :



Description Physique

Je ne suis que l’ombre de ma folie. Spectre. Tel un cadavre, je me meus. Comme un fantôme, j’agis. Blanc. Je suis la Vierge absente. Blanc. Comme mon être et ma robe. Blanc.

Terni par le temps, ma peau est maladive, aussi pâle que ta défunte famille. Vois-tu, toi et moi n’appartenons pas tout à fait au même monde. Tu es le jour dont je ne suis que le rampant. J’oscille entre la vie et la mort, et je ris. Sauve-moi. Mes yeux livides t’implorent ma paix. Ma paix, rend-la moi. Ma fine ossature semble déjà se consumer, si fragile sont mes os de cristaux. Ma peau est glaciale. Et pourtant mon sang déteint coule encore en moi. Pourtant, mon cœur est encore là. Guère plus palpitant qu’autrefois, il chante le macabre requiem de la Vierge innocente. Ma chevelure a fanée, a blanchit, et a vieillit plus tôt que moi. Je ne suis pas ridée, et j’entends déjà la Faucheuse me chercher. J’ai peur, serre-moi un peu plus fort dans tes bras, sans me briser, serre-moi jusqu’à m’étouffer. Je ne suis qu’une enfant trop pâle qui hante ta raison. Humaine ou simple apparition ?

Je t’effraie de mon regard blême et sanglant. Tous les fantômes sont albinos.



Passe-ton chemin.




Caractère

Qu’espères-tu de moi ? Les vivants et les morts ne se côtoient pas. Ni bien vivante, ni vraiment morte. Je ne suis que le reflet d’une eau trouble. Trop trouble. Qu’espérais-tu ? Voir au travers d’un fantôme ? C’est trop facile. Mais jamais tu ne pourras me saisir. Alors attrape ma main, et ne sers pas. Je suis là pour t’écouter. Je connais tes secrets que tu murmures la nuit à ton chevet. Une alternative. Si tu es malheureux, tu sais qu’il y aura moi pour pleurer tes tourments. Je veux vampiriser ce qui te rend plus vivant que moi, je suis jalouse de tes étincelles dans tes yeux que je n’ai pas. J’ai froid, froid de ton corps chaud. J’ai peur de ton effroi. Les humains n’apprécient pas les êtres insaisissables et absents. Je rode sans dire un mot, je traverse les murs et les corps, je hante sans m’imposer. Constante comme la vieille horloge à l’arrêt, je recherche avidement une âme charitable qui voudra me bercer. Je ne connais plus la paix depuis déjà si longtemps… Imperturbable. Allons, on ne réveille pas les trépassés…



Histoire

Avais-tu une famille ? Tu ne sais plus ? Ferme les yeux, imagine une femme par delà l’éther et retrace ses traits de tes doigts fantomatiques. Mère. Elle te sourit et te murmure de belles promesses. Elle a dit qu’elle t’aime. Tu te rends compte ? Elle t’aime… Hélas, ceci n’est que vapeur qui te plonge dans un rêve que tu ne dois plus vivre. Jamais.

Toi, tu ne te contenteras que de survivre à travers quatre murs aussi blancs que ta chair. Ton corps fond dans ce paysage laiteux, seul ton regard vermeille te trahis. Dans ton cube blanc, séquestrée comme un moineau dans une cage d’argent, tu attends. Recroquevillée dans un coin, tu pleures au nom de la solitude qui te ronge. Tu ne sais pas qui viendra te sauver, si un jour un monstre devra arriver. Il est là. La bête. Tu as peur et tu approches tes genoux vers toi. Il est là, il s’approche et tes larmes coulent à flot. Il est immunisé contre tes sanglots et t’emmène dans l’enfer blanc. Quand on voit le gris du scalpel, on voit aussi le rouge de ton sang. Rappelle-toi de ton trépas. Tu n’es plus sensée souffrir des opérations. Il t’a ouvert sous tes yeux horrifiés, et a fait de toi un esprit errant. Son rictus malsain a terni à jamais ton doux visage. Il n’était pas seul. Tu as vu le massacre.

Elle s’appelait Alys. Alys au milieu des enfants mutilés, au milieu des regards dévastés. Tous dans la salle blanche tapissé du sang de l’opprimé. Et Alys a vu la Mort, son amie quand la souffrance est à son paroxysme. Celle-qui la berça lorsque la douleur de la lame sur sa chair était trop déchirante.
Elle est vivante, regarde. Elle est la seule à avoir survécu au génocide expérimentale…

"Mais, Monsieur, sur les registres il est dit qu’elle est morte..."



A savoir : Alys n’est pas un vrai fantôme, ceci est une figure de style et elle est donc bien humaine. Néanmoins, son physique blanc, son regard ailleurs, son comportement absent, mais surtout sa capacité de phaser fera qu’on pensera vraiment qu’elle n’est qu’un spectre. C’est un personnage qui a vu les pires atrocités scientifiques : On l’a opéré sans l’endormir, on l’a enfermé en salle blanche depuis son jeune âge, elle a vu les autres cobayes (vivants, morts ou mortellement blessés). Bref, elle est traumatisée, VRAIMENT traumatisée. La vue d’un scalpel peut la faire crier d’angoisse. Vous pouvez toutefois faire d’elle un gentil Casper qui veut un ami, ou un esprit vengeur en mode Chucky… A vous d’en décider. Sachez toutefois qu’Alys est très peu bavard, pour ne pas dire muette. L’Ambassade ne la recherche pas car sur les registres, aux yeux du monde, elle est morte. Rappelez-vous que son arcane est la Mort : Elle symbolise ce qui attend l’homme, et suscite donc la frayeur des autres.

Bonus : C’est un personnage qui inspirera la pitié de tout le pensionnat. Elle est l’image même de la souffrance d’un cobaye. Et si Lawrence voudra convaincre quelqu’un, faire de lui un réplicant, sans doute qu’il mentionnera Alys dans ses discours. D’ailleurs, il est possible que se soit lui qui effaça son nom des registres, et qui la renomma ensuite…




Chronologie

(Dans l'ordre chronologique, à éditer régulièrement, de préférence avec les liens menant aux RP).




Comment avez-vous trouvé le forum ? :

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Présence :

Qu'est-ce qui vous a donné envie de vous inscrire ? :




Code:
[center][img]http://img810.imageshack.us/img810/7694/electrocard13.png[/img][/center]

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<tr><div align="center"><fieldset class="partie1">
<legend class="partie2"><strong>[b]Alys Hemelighet[/b]
</strong>
</legend><div align="left">[color=royalblue][b]Nom :[/b][/color] Hemelighet [se prononce "Héméliguète"].
[color=royalblue][b]Prénom :[/b][/color] Alys.
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[color=royalblue][b]Sexe :[/b][/color] Féminin.
[color=royalblue][b]Orientation Sexuelle :[/b][/color]
[color=royalblue][b]Race :[/b][/color] Phaser.
[color=royalblue][b]Clan :[/b][/color] Pacifistes.
[color=royalblue][b]Emploi/Occupation :[/b][/color] Élève - Deuxième année.
[color=royalblue][b]Filière :[/b][/color]</div>
</fieldset>

<div class="partie3">[b]Description Physique[/b]<br></div><div class="partie4" align="left">
[color=white][font=Trebuchet MS]Je ne suis que l’ombre de ma folie. Spectre. Tel un cadavre, je me meus. Comme un fantôme, j’agis. Blanc. Je suis la Vierge absente. Blanc. Comme mon être et ma robe. Blanc.

Terni par le temps, ma peau est maladive, aussi pâle que ta défunte famille. Vois-tu, toi et moi n’appartenons pas tout à fait au même monde. Tu es le jour dont je ne suis que le rampant. J’oscille entre la vie et la mort, et je ris. Sauve-moi. Mes yeux livides t’implorent ma paix. Ma paix, rend-la moi. Ma fine ossature semble déjà se consumer, si fragile sont mes os de cristaux. Ma peau est glaciale. Et pourtant mon sang déteint coule encore en moi. Pourtant, mon cœur est encore là. Guère plus palpitant qu’autrefois, il chante le macabre requiem de la Vierge innocente. Ma chevelure a fanée, a blanchit, et a vieillit plus tôt que moi. Je ne suis pas ridée, et j’entends déjà la Faucheuse me chercher. J’ai peur, serre-moi un peu plus fort dans tes bras, sans me briser, serre-moi jusqu’à m’étouffer. Je ne suis qu’une enfant trop pâle qui hante ta raison. Humaine ou simple apparition ?

Je t’effraie de mon regard blême et sanglant. Tous les fantômes sont albinos.


 
Passe-ton chemin.[/font][/color]

</div>

<div class="partie3">[b]Caractère[/b]<br></div><div class="partie4" align="left">
[color=white][font=Trebuchet MS]Qu’espères-tu de moi ? Les vivants et les morts ne se côtoient pas. Ni bien vivante, ni vraiment morte. Je ne suis que le reflet d’une eau trouble. Trop trouble. Qu’espérais-tu ? Voir au travers d’un fantôme ? C’est trop facile. Mais jamais tu ne pourras me saisir. Alors attrape ma main, et ne sers pas. Je suis là pour t’écouter. Je connais tes secrets que tu murmures la nuit à ton chevet. Une alternative. Si tu es malheureux, tu sais qu’il y aura moi pour pleurer tes tourments. Je veux vampiriser ce qui te rend plus vivant que moi, je suis jalouse de tes étincelles dans tes yeux que je n’ai pas.  J’ai froid, froid de ton corps chaud. J’ai peur de ton effroi. Les humains n’apprécient pas les êtres insaisissables et absents. Je rode sans dire un mot, je traverse les murs et les corps, je hante sans m’imposer. Constante comme la vieille horloge à l’arrêt, je recherche avidement une âme charitable qui voudra me bercer. Je ne connais plus la paix depuis déjà si longtemps… Imperturbable. Allons, on ne réveille pas les trépassés…[/font][/color] 

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<div class="partie3">[b]Histoire[/b]<br></div><div class="partie4" align="left">
[color=white][font=Trebuchet MS]Avais-tu une famille ? Tu ne sais plus ? Ferme les yeux, imagine une femme par delà l’éther et retrace ses traits de tes doigts fantomatiques. Mère. Elle te sourit et te murmure de belles promesses. Elle a dit qu’elle t’aime. Tu te rends compte ?  Elle t’aime… Hélas, ceci n’est que vapeur qui te plonge dans un rêve que tu ne dois plus vivre. Jamais.

Toi, tu ne te contenteras que de survivre à travers quatre murs aussi blancs que ta chair. Ton corps fond dans ce paysage laiteux, seul ton regard vermeille te trahis. Dans ton cube blanc, séquestrée comme un moineau dans une cage d’argent, tu attends. Recroquevillée dans un coin, tu pleures au nom de la solitude qui te ronge. Tu ne sais pas qui viendra te sauver, si un jour un monstre devra arriver. Il est là. La bête. Tu as peur et tu approches tes genoux vers toi. Il est là, il s’approche et tes larmes coulent à flot. Il est immunisé contre tes sanglots et t’emmène dans l’enfer blanc. Quand on voit le gris du scalpel, on voit aussi le rouge de ton sang.  Rappelle-toi de ton trépas. Tu n’es plus sensée souffrir des opérations. Il t’a ouvert sous tes yeux horrifiés, et a fait de toi un esprit errant. Son rictus malsain a terni à jamais ton doux visage. Il n’était pas seul. Tu as vu le massacre.

Elle s’appelait Alys. Alys au milieu des enfants mutilés, au milieu des regards dévastés. Tous dans la salle blanche tapissé du sang de l’opprimé. Et Alys a vu la Mort, son amie quand la souffrance est à son paroxysme. Celle-qui la berça lorsque la douleur de la lame sur sa chair était trop déchirante.
Elle est vivante, regarde. Elle est la seule à avoir survécu au génocide expérimentale…

"Mais, Monsieur, sur les registres il est dit qu’elle est morte..."



[color=cyan]A savoir : [/color]Alys n’est pas un vrai fantôme, ceci est une figure de style et elle est donc bien humaine. Néanmoins, son physique blanc, son regard ailleurs, son comportement absent, mais surtout sa capacité de phaser fera qu’on pensera vraiment qu’elle n’est qu’un spectre. C’est un personnage qui a vu les pires atrocités scientifiques : On l’a opéré sans l’endormir, on l’a enfermé en salle blanche depuis son jeune âge, elle a vu les autres cobayes (vivants, morts ou mortellement blessés). Bref, elle est traumatisée, VRAIMENT traumatisée. La vue d’un scalpel peut la faire crier d’angoisse. Vous pouvez toutefois faire d’elle un gentil Casper qui veut un ami, ou un esprit vengeur en mode Chucky… A vous d’en décider. Sachez toutefois qu’Alys est très peu bavard, pour ne pas dire muette.  L’Ambassade ne la recherche pas car sur les registres, aux yeux du monde, elle est morte. Rappelez-vous que son arcane est la Mort : Elle symbolise ce qui attend l’homme, et suscite donc la frayeur des autres.

[color=cyan]Bonus :[/color] C’est un personnage qui inspirera la pitié de tout le pensionnat. Elle est l’image même de la souffrance d’un cobaye. Et si Lawrence voudra convaincre quelqu’un, faire de lui un réplicant, sans doute qu’il mentionnera Alys dans ses discours. D’ailleurs, il est possible que se soit lui qui effaça son nom des registres, et qui la renomma ensuite…[/font][/color]

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<div class="partie3">[b]Chronologie[/b]<br></div><div class="partie4" align="left">
(Dans l'ordre chronologique, à éditer régulièrement, de préférence avec les liens menant aux RP).

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<div class="partie5" align="left">
[color=royalblue][b]Comment avez-vous trouvé le forum ? :[/b][/color]

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